Aujourd'hui, je me leva calmement. Peu après m'être réveiller, Hibird le petit poussin que j'avais recueilli il y a quelque temps vint se poser sur ma tête. Il était entrer par la fenêtre qui était ouverte à ce que je venais de voir. Je partis déjeuner après m'être brosser les dents. Une tartine avec de la confiture à la fraise puis du jus d'orange devrait aller. Je mangea puis bu et ensuite, je me changea. Je n'oublia pas de prendre le sac dans lequel je mettais mes tonfas puis je sortis de la maison. Je partis ensuite au centre ville puis vis un homme de la librairie qui me dit de m'approcher. Comme je n'avais rien à faire et que c'était rare que des gens viennent dans la librairie, je le suivis. Il me dit alors :
"Bonjour jeune étudiant shinobi... Nous sommes débordés de travail et, pas de chance nous avons un colis à livrer de toute urgence ! Acceptes-tu cette mission ?"
Je le regardais alors avec Hibird sur l'index puis ensuite, je fermai les yeux doucement puis dis :
"J'accepte et de toute façon, j'aurais fait cette mission même si vous ne me l'aviez pas demander puisque j'allais demander une mission au Mizukage."
Le libraire s'absenta alors pendant quelques instants puis revint avec un paquet. Je pris alors le paquet puis entendis une masse énorme de livre tomber à terre. Je partis alors sans dire un mot. Lorsque je fis dehors, je vis tout un tas de personne mal intentionnée qui se tenait là entrain de me regarder. L'un d'entre eux arriva puis essaya de me provoquer en me crachant dessus. Voyant ceci, Hibird partit directement car il savait que j'allais me déchainer sur mon ennemi et ces allier. Une fois qu'il fut envoler, je sortis mes tonfas en métal puis le frappa en plein visage. Le sang coulait de partout et une grande masse alla sur moi. Je continuais de lui donner des coups dans la figure puis à un moment, je le pris par le col puis je le balança en l'air. Une fois qu'il fut balancé en l'air, je sauta en l'air puis lui donna un grand coup de tonfa dans le ventre. Il s'écrasa alors sur plusieurs de ses allier mais pas tous. Les autres se mirent alors directement l'action. Ce qui se trouvait dans ce carton devait surement être d'un valeur inestimable ! Ils se jetèrent tous sur moi tel des taureau. Je les renvoyais peu à peu tous. Une fois qu'ils furent tous renvoyer, je pris le carton puis partis vers le Quartier Général. Une fois arriver, je toqua puis laissa le colis devant la porte en partant. Une fois dehors, Hibird me rejoignit pour que l'on continue notre journée...